Choko Kuro, psychopathe... un peu, beaucoup ou à la folie ?

Nom et prénom :
Choko Kuro
Age :
17 ans
Sexe :
Aux dernières nouvelles elle était une fille, mais rien ne t'oblige à la croire.
Orientation sexuelle :
ça dépend du moment.
Race :
Psychopathe de niveau trois. Une sorte de folie meurtrière l'habite et même si elle se cache sous un visage d'ange, un rien suffit à lui faire perdre le contrôle et vous ferais perdre votre vie...

Description Physique :

Non, ce n'est pas Blanche-neige ou un vampire, juré !

Hum, que vous dire d'elle... elle est jolie, sans doute. Belle ? Pas spécialement, mais jolie, à sa façon.
C'est peut-être dans ses gestes, dans sa façon d'être. Elle est tellement gracieuse, on pourrait avoir l'impression qu'elle vole quand elle marche, elle ne fait qu'effleurer le sol du bout de ses petits pieds.
Sinon, elle a un visage assez fin, et se tient toujours dignement, sa façon de marcher pourrait faire penser aux mouvements d'une danseuse tant elle est gracieuse, il y a de la noblesse dans sa façon d'être.
Elle a une façon de regarder qui déstabilise, elle vous fixe des ses deux grands yeux qui ressemblent à des rubis et vous sentez que vous pourriez vous perdre dedans.
Que voulez-vous dire d'autre à son propos ? On peut sans doute dire qu'elle est loin d'être laide avec ses longs cheveux aussi blonds qu'un champ de blé, ses yeux bruns aux reflets rubis. Elle sait que ça peut paraitre étrange comme couleur, mais ces yeux, elle les adore justement, ils la différencient des autres et elle aime ça.
Elle a aussi de jolies lèvres rouges, sans oublier sa peau, assez pâle mais sans trop l'être qui lui donne assez souvent un air malade. Elle peut ressembler à une poupée ou à une petite fille malgré ses dix-sept ans, ça l'énerve d'ailleurs assez souvent, qu'on la prenne pour une gamine. Le pire c'est qu'on lui dit qu'elle ressemble à une poupée et elle a horreur de ça.
Que voulez-vous, c'est vrai qu'elle est assez mignonne et que ça façon de porter assez souvent des robes à dentelle, froufrous ou autres, renforce encore cet aspect de poupée. Et en plus de tout ça, elle est assez petite. Bien sûre, ce n'est pas une naine, mais bon, elle n'est pas géante non plus. Elle est en dessous de la moyenne dirons-nous. Evidemment, ça ne fait que renforce encore plus son apparence de gamine.
Elle porte souvent des robes aussi. Pas des robes minuscules ou qui arrivent aux genoux, non, de belles robes longues, qui trainent à ses pieds et qu'elle aime porter dans les tons de rouges, bleus, blancs, noirs et mauves. A chaque couleur correspond son humeur de la journée. Elle aime s'habiller en fonction de ses humeurs.
Que vous dire d'autre sur elle ? Ah oui ! Non, ce n'est pas Blanche-neige ou un vampire, juré ! Si on vous le dit c'est qu'on lui a déjà posé la question et pour tout vous dire, elle ne trouve pas ça flatteur... selon elle, Blanche-neige, elle est tarte ! Mais bon, nous nous m'égarons un peu là, passons.
Ensuite, elle est toujours couverte de bleus, et si vous la voyez le pied dans le plâtre ou avec une attelle, ne vous inquiétez pas, elle n'est pas battue.
Vous vous demandez pourquoi ?
Elle aussi.
Posez donc la question à tous ces sols, portes, murs, ... qui veulent absolument et toujours faire sa rencontre chaque jours...


Description Psychologique :

Même si vous lui faites confiance et que vous croyez la connaitre, sachez qu'elle vous mens constamment et que personne ne sait qui elle est réellement

Description psycholigique ? Qu'est-ce que c'est ? ça se mange ?
Voilà sa réaction quand on lui demande de parler de son caractère. Mais bon, que voulez-vous, elle est assez idi... naïve et c'est un ventre sur patte, elle adore manger.
Sinon, hum... comment dire... euh... Hum, elle est assez spéciale, pour ne pas dire flippante. Oui, flippante. Ce doit être un bon mot pour la décrire. En fait, avant elle était très gentille, mais elle a commencée à changer le jour où elle a vu Alice aux pays des merveilles. Depuis elle a une fâcheuse tendance à raser les gens d'un peu trop près. Enfin, vous voyez quoi, elle aime bien couper les têtes des gens. On ne surestime jamais assez l'influence des dessins animés sur les enfants, et voilà le résultat.
Pourtant elle est très gentille, vous savez. C'est une jeune fille adorable que tout le monde aime, mais bon, mieux vaut éviter de la contrarier, ça la met de très mauvaise humeur et le soir, quand vient la nuit, il se pourrait qu'elle vienne vous torturer un peu avant de vous achever.
Vous allez lui dire qu'une folle qui passe temps à vouloir décapiter les gens ne peut pas être gentille, mais c'est pourtant la stricte vérité. Mais bon, il faut reconnaitre qu'elle peut se montrer assez cruelle aussi. Seulement ce n'est jamais de sa faute, elle y est toujours obligée. Après tout c'est normal de décapiter les gens quand ils gagnent à un jeu, la politesse voudrait qu'on la laisse gagner, mais à la place les gens la laissent perdre et voyez-vous, elle a horreur de ça, perdre.
Bon, sinon elle aime manipuler les gens à sa guise. N'essayez pas de lui résister, vous y perdriez votre tête, et quand elle vous donne un ordre, c'est pareil, évitez de la contrarier, ça la rend dingue et personne ne sait jamais comment elle va réagir, pas même elle. Un simple contact peut la rendre folle et la moindre erreur pourrait vous coûter la vie.
Elle passe aussi son temps à vous mentir. Rien que sa façon d'être vous mens. Elle semble toujours calme et posée, raisonnable, une personne censée... un masque ! Et derrière ce masque se cache un monstre redoutable. Ne la comparez jamais à une poupée ou une gamine, vous risqueriez d'y laisser votre peau.
Elle est comme ça notre chère Choko. Sans foi ni loi, elle vit à sa manière, suivant ses envies, se laissant emporter par ses émotions. On pourrait sans doute la comparer au ciel ou à la mer. Un instant elle est comme la mer, calme et silencieuse, et comme le vent, sans nuages, profitant d'un ciel bleu, et l'instant suivant elle se déchaine, détruisant tout sur son passage, grondant, menaçante comme les flots pour les navires, emportant tout sur son passage, des éclairs zébrant son ciel bleu, incontrôlable comme une tornade.
Oui, elle est comme ça.
Elle est elle et rien n’y changera rien.
Mais bon, un conseil, si vous la voyez mieux vaut pour vous de l'éviter et si l'envie vous prend de jouer avec le feu, n'oubliez jamais... Même si vous lui faites confiance et que vous croyez la connaitre, sachez qu'elle vous mens constamment et que personne ne sait qui elle est réellement.

Histoire :

C'était un meurtre mais pas un crime...

Son histoire ? Vous voulez connaitre son histoire ? Voilà qui est une chose étrange, personne n'a jamais voulu la connaitre, par peur de représailles... vous êtes bien courageux ou alors complètement inconscients. Mais bon, si vous y tenez, vous allez la connaitre...

C'était un jour soir, au Crépuscule. Tout le village était silencieux, seul le cri d'un enfant perturbait ce silence. Le cri d'un nouveau-né. Le village était en deuil.
Ciyuki Kuro venait de mourir en couches, laissant derrière elle un mari et un bébé, une fille. Elle lui donna un nom et ferma les yeux, partant dans la mort tout doucement, s'endormant, presque comme si elle allait rejoindre une vieille amie, le sourire aux lèvres.
C'est ainsi que venue au monde Choko Kuro, une petite fille normale et bien qu'elle ne soit pas beaucoup aimée de son peur, elle vécu heureuse entourée des autres villageois et enfants de son âge.

Ensuite, vers ses huit ans, Choko fut invité à un anniversaire d'un de ses camarades. Ils regardèrent ensembles le dessin animé "Alice aux pays des merveilles". Ce fut le coup de foudre. Oui un coup de foudre, pas un coup de cœur, non un simple coup de cœur n'aurait pas eu cet effet sur notre petite Choko. En voyant pour la première fois la dame de cœur apparaitre à l'écran, elle fut saisie de spasmes, tout son corps trembla et la maman de son camarade craignit même pour la vie de la petite, tant et si bien qu'elle l'emmena à l'hôpital. Mais Choko savait, elle, qu'elle n'était pas malade, loin de là, elle allait même mieux que jamais. Elle se souvient même avoir pensé que si elle savait faire ça, elle pourrait rentrer chez elle sans sa peur au ventre. Elle pourrait vivre totalement libre et sans aucune contrariété, elle pourrait enfin se libérer de son père. En effet, bien que tout le monde aimait la petite Choko, son père lui, au contraire, la détestait un peu plus chaque jour et chaque fois qu'elle rentrait chez elle, il la battait comme plâtre avant de la laisser à demi-morte sur le sol pendant que lui retournait à ses occupations. Et chaque jour, chaque soir plutôt, le même schéma se reproduisait, inlassablement.
Choko n'osait imaginer ce qui se passerait lorsqu'il devrait venir la chercher à l'hôpital et que les médecins lui annonceraient qu'elle n'avait rien.
Mais pour l'instant, tout cela était le cadet de ces soucis, bien que ses pensées ne soient pas des soucis en fait. Non, elle repensait à ses frissons qui l'avaient parcourus tout à l'heure, elle en tremblait encore. Une telle émotion l'avait assaillie, de véritables frissons d'extases, bien qu'elle ne sache pas exactement de quoi il en retournait.
Elle était absolument fascinée par cette reine cruelle et laide qui tuait les gens aussi facilement que de manger du chocolat. Vous allez dire que dans ce dessin animé, on ne voit personne se faire tuer, mais Choko était loin d'être idiote, comme tous les enfants, elle savait se servir de ses oreilles pour bien entendre et de sa bouche pour poser de bonnes questions aux bonnes personnes.
Et puis après avoir compris, Choko a grandi.

Vers ses seize ans, Choko ne pouvait plus supporter son père. Elle savait que si elle n'agissait pas, elle ne serait bientôt plus qu'un vulgaire souvenir emporté par le temps. Elle savait que si elle ne partait pas elle finirait par y laisser sa peau.
Et la vie à continué son cours , mais rien n'était déjà plus pareil.
Chaque jour, quand elle allait à l'école, on murmurait sur son passage, les rumeurs la suivaient comme son ombre et on la regardait avec mépris, peur ou haine.
Pourquoi demande-vous ? C'est bien simple, il n'y avait pas que les rumeurs qui la suivaient comme son ombre, mais aussi les cadavres.
Ils avaient commencés il y a deux ans, les meurtres. La mort avait frappé en emportant avec elle une jeune fille amie avec Choko et un garçon. Ils avaient été assassinés sauvagement, décapités. Tout le village était en deuil, se demandant comment diable une pareille tragédie avait pu arriver. Choko, elle, savait. Cette petite grue qui lui avait servit de copine l'avait trahie. Un jour où Choko était malade, cette sale peste avait été trouver la garçon dont Choko était amoureuse et lui avait fait sa déclaration en lui donnant le cadeau d'anniversaire que Choko lui avait demandé de remettre au garçon de sa part. Et ils étaient sortis ensembles.
En apprenant la nouvelle, Choko était entrée dans une telle fureur qu'elle n'avait rien vu venir. Elle était allée chercher un objet dans la remise de son père et avait été tuer cette sale garce qui se prétendait être son amie. Et c'est là qu'ensuite, ses pas l'avaient menée jusqu'à chez lui et elle l'avait tué. Il l'avait trahie aussi.
Et puis les meurtre s'étaient enchainés, ils connaissaient tous Choko, en même temps, tout le village connaissait Choko et le contraire était vrai aussi.
Il suffisait d'un rien pour la faire sortir de ses gonds, un sifflement en rue, un regard qui ne lui plaisait pas, un tricheur,... un rien. Et alors elle sortait la nuit, se glissant furtivement dans les ruelles et fondant sur ses victimes comme un oiseau de proie sur un lapin. Et ils ne voyaient jamais rien venir, les imbéciles ! Jamais ils n'auraient pensés que la douce, la pure et naïve Choko puisse seulement faire du mal à une mouche et pourtant ! Pourtant elle tuait des hommes !
Elle avait appris à se servir d'armes, ses préférées restants la faux, les poignards et la hache. Elle avait même acheté un faux juste pour l'occasion.
Et puis bien sûr les gens avaient commencés à se poser des questions, quand ils avaient compris qu'elle pouvait devenir très agressive, qu'elle était facilement irritable et surtout que les personnes qui disparaissaient avait toutes eu un contact avec elle dans la journée.
Mais elle s'en fichait, ils n'avaient rien contre elle, ils ne pouvaient pas prouver et puis elle ne pouvait pas résister à cette voix qui lui susurrait doucement à l'oreille que c'était bien, qu'il fallait le faire, que c'était agréable, que ça la délivrerait. Mais chaque fois après, une fois la personne tuée, elle se mettait à avoir d'épouvantables migraines, parois elle s'évanouissait sous le coup de la douleur. Une douleur qui la transperçait de part en part, la déchirant de l'intérieur.
Et ces crises ne s'arrêtaient jamais. Il lui arrivait même de hurler en cours ou de s'effondrer au tableau.
Mais elle s'en fichait de tout cela, rien n'était plus jouissif que de tuer, et elle le faisait, encore et encore.

Et puis un jour, ses dix-sept ans arrivèrent.
Comme à l'accoutumée, elle rentra chez elle, mais cette fois-là, il ne l'accueillit pas en la battant.
Elle se dirigea vers la cuisine et admira la jolie flaque rouge sur le sol, elle regarda ensuite sur la chaise, le corps sans vie de son géniteur.
Elle sourit.
" Tu vois papa, tout à une fin et la tienne est arrivée ce matin. Tu ne pourras plus jamais faire de mal à personne. Mais tu sais, je ne t'en veux pas, tu es comme ça. Alors ne m'en veut pas non plus... c'était simplement ma nature. Maintenant je suis libre, libre d'aller où bon me semble. Tu sais, tu l'as bie cherché... c'était un meurtre mais pas un crime."
Elle se dirigea ensuite vers sa chambre, emporta quelques livres et une peluche avec elle et sortit.
Elle emprunta la route qui la conduisit en dehors du village. Sa jolie robe était tâchée de sang, mais elle s'en fichait, aujourd'hui elle partait pour de bon. Elle disait adieu à son ancienne vie et commençait la nouvelle.
Elle erra quelques temps, sans cesse à la recherche de meurtres à commettre et sa soif de sang mena ses pas jusqu'ici, à Kichigai.

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Petite question...Comment avez-vous connu ce forum ? : Sur académie ^^